• Nous étions un petit millier de dossiers au départ, cent quarante candidats lundi dernier lundi dernier pour l'écrit; ils (nous?) seront(s?) soixante pour l'oral et seulement vingt-cinq chanceux à être admis. C'est que ça rigole pas, pour entrer en DUT Journalisme à Tours. Voilà un petit reportage réalisé par Maude, étudiante à l'IUT, qui résume quelque peu la situation (même si les interviewés me semblent un peu imbus d'eux-même pour un tel type de concours)...


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  • Après la Russie, traversons le pacifique et débarquons sur cette terre inconnue et inquiétante que représente pour nous, pauvres européens, l'immense état fédéral que sont les Etats-Unis d'Amérique. Inconnue, car si niveau géographie européenne, les américains ne sont pas des dieux, niveau géographie américaine, les européens ne sont pas mal gratinés non plus. Bref, je m'égare.

    Ainsi donc mon sujet de mémoire de fin de semestre ressemble à quelque chose comme cela: «dans quelle mesure l'adjectif de "empire" est-il utile, pertinant, superflu ou inutile pour analyser la politique étrangère des Etats-Unis pendant et après la Guerre Froide» (du moins, condensant les quinze lignes de questions auxquelles l'on doit répondre, ça pourrait ressembler à ça). Ca pourrait être sympathique et intéressant si nous n'avions pas que trois semaines et deux autres examens à préparer en même temps. Mais bref, je m'égare.

    Ainsi donc, il nous faut répondre, et trouver une réponse PAR NOUS-MÊME à cette délicate question. Délicate, car tous les spécialistes se déchirent sur la question. Qu'ils s'appellent Ikenberry, Wohlforth, Dueck, Ferguson, Barber, Johnson ou encore Todd (liste non exhaustive), chacun de ces messieurs ont des avis complètement divergents sur la question. Et bien souvent, l'avis varie plus ou moins selon l'origine du théoricien, selon qu'il soit américain (pro-), anglais ou australien (-modéré) ou français (-anti) - caricaturalement du moins, ça ressemble à ça.

    Autre chose qui m'interpelle particulièrement, ce sont les adresses e-mails. Je m'explique: avant chaque article et essai, souvent extraits de revues spécialisées, est esquissé un rapide CV de l'auteur et... son adresse e-mail ! Les américains sont vraiment en avance sur nous... Imaginez donc, d'ici quelques années, lorsque vous achèterez un livre, vous aurez la possibilité de contacter directement l'auteur grâce à son adresse e-mail. Secrétaire de société d'édition n'est donc peut-être pas un boulot d'avenir. Bref, je m'égare.

    Ainsi donc, voilà où je voulais en venir. En France, du peu que je les utilise, les boîtes aux lettres électroniques des universitaires sont bien souvent très professionnelles, très sérieuses. Ainsi le directeur de mon UFR a pour adresse électronique françois.p*****@u-cergy.fr. Ainsi Pascal P***, de Science-Po, a-t-il aussi pour adresse électronique construit de la même manière pascal.p***@sciences-po.fr. Or là, et comme au Danemark d'ailleurs, les professeurs ont des adresses beaucoup moins formelles. Ainsi Thorsten Borring O****, historien danois reconnu et mon enseignant au premier semestre, a-t-il pour adresse électronique histto@hum.au.dk (une lettre a volontairement été modifiée). C'est aussi le cas de mon cher professeur de Harvard, monsieur Mark K****, dont l'adresse e-mail ressemble à ça: mk****@fas.harvard.edu. Enfin, cas amusant, parmi les théoriciens que je suis amené à étudier, G. John Ikenberry, personnalité légendaire dans le milieu, a pour adresse internet gji4@princeton.edu (chiffre volontairement modifié). Ainsi donc à Princeton University devait-il y avoir déjà trois personnes portant les mêmes initiales que le "maître", mais celui-ci n'aura pas jugé utile d'obtenir toutefois une adresse pouvant paraître plus «sérieuse». Ou comment appliquer à des adresses e-mails cette théorie selon laquelle, ici du moins, les intellectuels sont plus simples et abordables qu'en France.

    Et dire qu'après ça, on nous demande d'avoir des boîtes aux lettres électroniques sérieuses du type prénom.nom@orange/gmail/hotmail.fr/com pour «faire plus sérieux». Quel dommage qu'on se prenne tant la tête !...


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  • « Barack Obama affiche désormais un score de 271 superdélégués, contre 272,5 à sa rivale » (NouvelObs.com)

    On savait que le système des primaires et caucus américains était suffisament compliqué à suivre (toutes les observateurs se contredisent sur les chiffres), mais si en plus les superdélégués commencent à compter pour des demis, on a pas fini...


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  • Les supporters d'Hillary Clinton ont sévèrement attaqué Barack Obama sur sa relation avec le pasteur Jeremiah Wright. Heureusement, la manoeuvre a échoué et plus jeté le doute sur la légitimité de Clinton que déstabilisé son adversaire démocrate. Et alors qu'elle est en train de perdre la course à l'investiture -après d'historiques "super-délégués", c'est le New York Times qui lui conseille aujourd'hui d'abandonner -, une autre vidéo, bien plus inquiétante, est en train de faire le tour du net. Voilà en effet celui que John McCain désigne comme un "guide spirituel", le révérend Rod Parsley, lui-même fervent soutien du candidat républicain. Un prédicateur qui n'hésite pas à affirmer, en parlant de l'islam, que « l'Amérique a été fondée, en partie, dans le but de détruire cette fausse religion ». La vidéo est signée Brave News Films, groupe activiste, mais reste parlante. Extrait.


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  • New episode in the currently sexual violences discoveries around the world. After the stories of Elisabeth Fritzl in Autria and Lydia Gouado in France, a new case of sexual maltreatment has been discovered in Antarctic. Infortunately for him, the Sea Lion (100 kg) was recorded trying to force the poor King Penguin (15 kg) to have sex with him. The justice has been distrained. 

    Be carefull if you're sensible, the scene can shock


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