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    Comme indiqué dans un précédent billet (lire ici), les danois ont des noms de famille peu variés. Au point de dérouter les services informatiques des compagnies aériennes!

    Cet après-midi, dans l'avion (Sterling Airways, low-cost danois, d'où une majorité de danois dans l'appareil), nous nous apprêtons à décoller de Roissy, direction Billund, au Danemark. Sauf que le chef de cabine s'aperçoit qu'il y a un passager en trop. S'ensuit plusieurs recomptages, parlementations avec le personnel de l'aéroport, consultation des listings. Il s'avère qu'en fait, deux passagers portaient le même nom. Mais que le système informatique n'en avait fait qu'une seule et simple personne.

    Inutile de préciser, évidemment, que pendant la demi-heure qu'a duré cette affaire (retardant d'autant notre décollage), nulle impatience, nul énervement, nulle récrimination de la part des autres passagers. Atmosphère plutôt bon enfant même, les danois rigolant fort bruyamment à chaque retournement de situation. Un avant-goût de retour au Danemark, bien que sur le sol français!

     


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    Il faut le savoir, les danois sont très design... En voilà donc une illustration parfaite, avec la salle à manger de notre très chère amie copenhaguoise (ou copenhaguaise?) Chloé (qui vient d'ailleurs de créer son blog).

    C'est... design quoi !

     


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  • Bus

     

    København Airport, 6h30 (oui, du matin !).

    A Århus, la montée dans les bus de ville se fait à l'arrière. En toute logique, la descente se fait donc par l'avant, ce qui donne l'immense avantage de pouvoir saluer le chauffeur - nous sommes au Danemark, pays du respect ! Ca n'est pas grand-chose, mais un salut ou un sourire respecteux du chauffeur permet de commencer la journée de bonne humeur.

    En petit provincial arhusien (je comprends maintenant ce que ressentent les provinciaux qui sont perdus en arrivant à Paris !), je débarquais hier soir à Copenhague plein de certitudes concernant ce fameux pays d'accueil, où tout semble plus simple (hormis le froid et la nuit, évidemment). Stupeur au moment de "to catch the bus 1A", je m'apercevais que la montée se faisait par l'avant, comme en France. Et que, comment dans certaines villes françaises de province, il fallait montrer sa carte ou son ticket au chauffeur pour être autorisé à entrer dans le bus. Une petite explication d'une danoise éclairée m'apprenait que la montée par l'arrière dans le bus ne se faisait pas dans tout le Danemark - comme je le croyais - mais... seulement à Århus. Un mythe s'effondrait, la terre s'écroulait sous mes pieds... Bref, heureusement que Chloé fut là pour sauver la soirée car sinon je ne m'en serais peut-être pas remis.

    Peut-être, j'ai dis.

     


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